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Après le lancement de 16 jours d'activisme de lutte contre les violences faites à la femme, une séance de plaidoyer s'est tenue ce mardi 26 novembre 2024, dans la salle VIP du bâtiment du Trois-Juins, sous la direction de l'honorable Koumba Makaliliane, vice-présidente de l'Assemblée provinciale du Okatanga. Ce renforcement des capacités facilitée par un partenaire technique a mis autour d'une même table la secrétaire générale au ministère du Genre, Famille et Enfants, Esther Kamogna, la ministre provinciale du Genre dans l'Okatanga, Valérienne Moumbaki Bokonkamba, et les honorables députés femmes. Après un long moment d'échange fructueux, Madame Esther Kamogna a donné les grandes lignes de cette rencontre.

Aujourd'hui, une séance de plaidoyer, près de nos représentants, qui sont les honorables députés provinciales femmes, à qui nous sommes venus, pour leur donner la vision du ministère du Genre, également leur parler des textes internationaux qui protègent les droits des femmes, échanger aussi avec elles sur leurs préoccupations, afin de leur permettre que dans cette législature, il y ait des textes qui protègent suffisamment les femmes. Également, pour qu'elles puissent s'approprier davantage de cette question de la promotion des droits des femmes. Parce qu'il n'y a pas que la lutte contre les violences, il y a beaucoup d'autres droits auxquels les femmes ont droit, notamment droit à la santé, droit à l'éducation, droit à un environnement sain.

Ainsi, les honorables députés femmes sont bien outillées pour sensibiliser leur base sur la promotion des droits des femmes, l'honorable Eje Tchala. C'était une occasion pour nous de donner beaucoup plus d'explications par rapport à la vision du ministère, la mission, et avec AIFAS, c'était très important, parce que nous avons parcouru, pour que la femme puisse même réclamer quoi que ce soit, je crois qu'elle doit d'abord elle-même avoir la connaissance sur ses droits. Et avec AIFAS, c'était une occasion pour nous encore d'être renforcées par rapport aux instruments juridiques qui peuvent accompagner cette femme-là dans ses démarches, notamment les protocoles de dons.

Notons que ces échanges ouvrent la voie à la vulgarisation des textes relatifs aux matières qui touchent les femmes en général et les jeunes filles en particulier.