RDC : l'UPC de Thomas lubanga favorable à l'arrivé des troupes ougandaises en ituri pour éradiqué les groupes armés

 




Par Jonathan Basimaki depuis Bunia



Le plus ancien parti politique de l'Ituri a livré sa position dans une déclaration politique ce jeudi 09 décembre 2021 à Bunia.

L'Union des Patriotes Congolais realise que le président de la République et Chef de l'État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a manifesté toute sa volonté afin de pacifier l'Est du pays dont l'Ituri en fait partie.

En outre, ce parti politique soutien en termes clair la mutualisation des forces pour permettre aux troupes Ougandaises de venir en Ituri et travailler  en collaboration avec les militaires congolais à côté des forces onusiennes, en attendant l'arrivé prochainement de l'équipe des anciens leaders de geurre de la région dans le programme de déploiement de la task force pour l'éradication rationnelle de cette criminalité en Ituri.

L'Union des Patriotes Congolais recommande au gouvernement, la revisitation des dispositions de la mise en œuvre de l'état de siège qui constitue l'ultime régime de gestion de lui donner sa véritable valeur.

L'UPC met la communauté internationale, à travers la monusco pour établir des explications au tour des crimes internationaux qui se sont perpétrés en Ituri et au Nord-Kivu.



Le site de rhoo, un  calvaire pour ses occupants, des enfants consomment la bouillie du sol par manque de la farine




La gravité de la situation humanitaire dans ce géant site de plus de cinquante mille personnes a été soulevé par le secrétaire général du parti politique Union des Patriotes Congolais, les femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans sont les plus vulnérables.

Depuis plus d'un mois, aucune assistante n'est parvenue aux déplacés du site de Rhoo affirme la société civile locale.

Cependant, la sécurité des tous les sites pose un problème (le commandement militaire basé à madambuko doit sécuriser les sites de Rhoo et particulièrement le site de Rhoo où les déplacés n'ont même pas la chance de quitter leur site sur une distance de cent mètres) explique Charité banza de la société civile.

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