Lubumbashi : Des vendeurs des coeurs tuent une femme et l'arrachent son cœur après son accouchement

 




Par Dynamik Infos.com



Les faits se sont produits le lundi dernier à Lubumbashi, dans le Haut-Katanga. Une femme a été tuée par les malfrats vendeurs des coeurs, quelques heures après son accouchement, à l'hôpital LA FONDATION MONSEIGNEUR ADOLPHE NSOLOTSHY FMAN (ASBL), situé dans la commune Rwashi.

Selon les témoignages des membres de la famille de la défunte femme, "un docteur est venu l'appeler en présence de sa belle-mère, pour le lavage du ventre".

Avant de préciser : 

"Depuis la salle d'opération surgit des cris d'alertes provenant de la défunte femme, lorsque la belle-mère a voulu savoir ce qui s'est passé avec sa belle-fille, les docteurs l'empêchèrent en disant l'entrée est interdite dans la salle d'opération. La belle-mère inquiète qu'elle était, demanda : «pourquoi l'opérez-vous, puis qu'elle se porté bien?, Mais aucun de ses docteurs ne lui répondait, elle se décida d'appeler son fils qui est le mari de la défunte, à l'arrivé de son fils la femme était déjà morte" a précisé la belle-mère de la défunte.

Cette même source ajoute également que "les docteurs en ce moment cherchaient à déposer le corps à la morgue mais la belle-mère ne voulant pas qu'on amène le corps directement à la morgue parce qu'elle avait constaté que sa belle-fille  avait une blessure sur son ventre. C'est après la vérification des experts médicaux qu'ils ont su que la défunte femme n'avait de coeur . C'est pourquoi les docteurs se précipités à déposer le corps à la morgue..."

La famille victime pointe du doigt le responsable de cette structure hospitalière qui devra fournir des explications sur comment ces vendeurs des coeurs sont entrés ? Qui est celui qui l'a opéré ? Elle lance par ailleurs un cri d'alarme aux autorités afin que la justice soit faite. 


Réaction des responsables de l'hôpital incriminé


Selon la rédaction de Malaikatv, c'est plutôt l'histoire d'une femme d'une vingtaine révolue qui a rendu l'âme après accouchement au terme de plusieurs efforts consentis par le corps médical d'un hôpital privé dans la commune de la Ruashi. 

A en croire les responsables de l'hôpital, avant sa mort, la défunte a connue une hémorragie, pendant que le staff médical essayait d'entrer en contact avec sa famille pour une éventuelle  transfusion sanguine. Aux dernières nouvelles, l'enfant se porte bien.

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