Par Cedrick Chimbundu
Une fille de 21 ans violée dit avoir été violée dans la nuit du mercredi au jeudi 07 novembre, par des personnes armées non autrement identifiées, lors d'un cambriolage au quartier Kipanta, commune Annexe, ville de Lubumbashi dans la province du Haut-Katanga, au Sud-Est de la République Démocratique du Congo.
Ces malfrats, pour commettre leur forfait, ont cassé les vitres de la maison, terroriser leurs victimes, avant de les tabasser et exiger de sommes colossales d'argent.
Parmi les biens volés, l'on note les téléphones, l'agent et le poste téléviseur plasma 32 pousse a été emporté.
"La scène s'est déroulée à 01h. Ils étaient plus de 10 personnes et 3 portaient les tenues militaires. Ils ont cassé les vitres de la porte et de toutes les fenêtres. En entrant, ils cherchaient mon mari et je les ai répondu qu'il est déjà décédé, c'est ainsi qu'ils ont pris notre argent, le poste téléviseur et m'ont donné un coût de manchette à mon oil droit " confirme une victime.
"Chez moi ici, ils m'ont tabassé. Ils m'ont pris un million des français congolais. Je suis blessé à la tête et ma fille de 21 ans a été violée. D'abord, ils l'ont amené à près de 30 mètres de chez moi, avant de la violer, puis l'abandonner en route. Nous avons tellement crier, mais aucun voisin n'est venu à notre secours" ajoute le père de la fille violée
Espérant la sécurité, le chef du quartier Kipanta John Salamu et ces victimes demandent de l'aide aux autorités.
"Je demande à nos autorités de nous renforcer le service sécuritaires ici au quartier Kipanta. Et je demande aux parents, qui par hasard son enfant serait dans le groupe de ces voleurs,la justice fera son travail" a déclaré John SALUMU, chef de quartier Kipanta.
Ces voleurs ont profité pendant qu'il pleuvait afin de réaliser ces drames.
Il faut dire qu'au quartier Kipanta, aucun poste de police n'existe.
La société civile, à travers Bertin Tshoz, team leader de la gouvernance, sécurité et paix du cadre de concertation de la société civile du Haut-Katanga, invite la population, à se prendre en charge, notamment avec le système de collaboration. Il invite la population à dénoncer tout cas suspect constaté dans l'entourage.
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