Par Jules Mbuyu
Depuis le dimanche dernier, les Lushois ont constaté la surmilitarisation de la ville, par les éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo. Ces derniers ont pour certains organisé une parade dans les rues de la ville cuprifère, et d'autres ont été aperçu dans les coins les plus stratégiques de Lubumbashi.
Une inquiétude a gagné l'esprit de la population, qui s'est plusieurs fois interrogé sur la présence remarquable des FARDC.
Ce mardi 26 décembre, le vice-ministre de l'intérieur et sécurité Peter Kazadi Kankonde a apporté de la lumière. C'était au cours d'un briefing presse organisé avec son collègue de la communication et médias, Patrick Muyaya Katembwe, qui est aussi porte-parole du gouvernement Sama.
Selon P. Kazadi, le déploiement massif des militaires dans la ville de Lubumbashi est justifié par le renforcement des effectifs dans les zones moins sécurisées après la formation de plusieurs militaires et policiers et les alertes d’atteinte à la sureté de la nation.
"Nous sommes un pays souverain et avons le devoir d’assurer la sécurité de la population, après la formation de millier de soldat, il est normal de les déployés dans diverses endroits en lieu et place de les cantonnés à un même endroit, ceci est dans le plan normal de l’armée qui dispache les troupes nouvellement formés afin de sécurisé le pays" dit-il.
Et d’ajouter :
"Le déploiement de la police est tout à fait normal, car nous avons une alerte maximale durant la période électorale afin de sécurisé la population et ses biens".
Plusieurs alertes d'atteinte à la sureté de l’Etat ont été rapporté depuis plusieurs maintenant par la population.
La zone où règne l'insécurité c'est dans les kivus ou bien au Katanga ? Pourquoi pas au Kasaï là où les femmes ont été violentées et laissées nues par les militants d'un parti politique au pouvoir ?
RépondreSupprimerl'ETA est bien alaise quand le peuple est alaise
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