Lubumbashi : Lancement officiel de la Campagne d'éveil patriotique dénommée ''pas une famille sans enfant FARDC''

 



Par Jules Mbuyu



Le Président de l’ASBL ACTION FATSHI 2023 Patrick Onoya a lancé à partir de Kinshasa, la première vague de la Campagne d’éveil patriotique dénommée pas une famille sans un enfant dans les FARDC'' dans les 5 provinces de la République Démocratique du Congo concernées pour cette première vague.

Dans le Haut-Katanga, cette campagne d'éveil patriotique a été lancé par Emmanuel Ngolowoto, Coordonnateur provincial de l'action Fatshi 2023 dans la province du Haut-Katanga.

La marche de sensibilisation est partie de la commune Lubumbashi, au croisement des avenues Biayi coin De l'église en passant par le marché Moïse, le campus de l'Unilu, jusqu'a la prison Kasapa, leur point de chute. 

L'équipe de l'Action Fatshi 2023, avait pour mission de sensibiliser les jeunes Congolais à integrer les FARDC.

''Nous avons répondu à l'appel lancé par notre président et surtout lancé par les FARDC qui recrutent encore. Nous avons sensibilisé les jeunes ayant le souci d'intégrer l'armée. Cette campagne vise à recruter un certain nombre des jeunes, ainsi atteindre 1000 jeunes dans le compte de l'Action Fatshi qui doivent intégrer l'armee'' a expliqué Emmanuel Ngolowoto à la presse.

Les jeunes sensibilisés ont manifesté leur volonté de servir au sein des FARDC. Certains ont été répertorié sur place.

Emmanuel Ngolowoto a promis que cette campagne de sensibilisation des jeunes à integrer les Forces Armees de la Republique Demoxratoque du Cobgo continue danq la province du Haut-Katanga.

Pour rappel, lors du lancement de la campagne à Kinshasa, le professeur Patrick Onoya avait expliqué qu’au Front diplomatique doit s’associer le Front militaire.

Au maximum 1000 jeunes doivent s’enrôler aux FARDC, selon l'objectif fixé par l'ASBL Fatshi 2023, afin de pouvoir défendre l’intégrité du territoire national et mettre hors le sol congolais les rwandais qui cherchent de toutes les façons balkaniser le pays.

''Nous voulons un pays en paix, nous voulons que les tueries cessent à l’Est de la République démocratique du Congo et il n’y a pas longtemps les tueries ont commencé à arriver à l’Ouest au niveau de bandundu. Il faut obligatoirement que nous soyons fort au niveau du front militaire'' avait expliqué Patrick Onoya.

La deuxième vague interviendra dans deux semaines à travers une sensibilisation de porte à porte. Les jeunes allant de 18 à 25 ans sont attendus à integrer les forces armées congolaises.

Les 5 provinces concernées pour cette première vague sont : Kinshasa, Haut-Katanga (Lubumbashi), Nord-Kivu (Goma), Kasaì-Central (Kananga) et Sud-Kivu (Bukavu).

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